Lorsqu’une corruption politique déni son nom.
Mission de contrôle
Lorsqu’une corruption politique déni son nom.
Lord Acton disait que « Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument ». C’est pour le grand pouvoir des hommes/femmes politiques qu’on cherche les influences, afin qu’ils en abusent.
La corruption politique pourrait être défini comme les échanges d’avantage fait par des responsabilités politique en acceptant d’abuser de leur pouvoir de décision et d’orienter leur choix vers ceux qui leur procure des moyens d’influence.
En effet, si la corruption va de pair avec l’exploitation de la fonction publique selon les lois du marché (Lucchini, 1995, p.226), l’acte de corruption contient l’idée de réciprocité et correspond ainsi à la subversion de tous les systèmes à même de sacrifier la plupart du temps le principe de séparation des pouvoirs.
De plus l’histoire nous enseigne que la corruption politique et administrative ont tendance à aller de pair et à se renforcer mutuellement par le fait que la corruption politique est supportée par une corruption bureaucratique dans une pyramide d’extraction du bas vers le haut où la gestion discrète des ressources publiques devient un objectif en soi faisant que les dépenses publiques sont détournées dans les secteurs où les gains de corruption sont les plus importants et où la nature discrétionnaire des procédures réduit les risques.
Ainsi , on parle de technique d’investissement qui ont pour principale fonction de générer des commissions (Peut-être le cas des éoliennes en France ? Ou bien peut-être le plan Next generation EU, de plus de 800 milliards d’euro, destiné à aider à réparer les dommages économiques et sociaux immédiats causés par la « pandémie » Covid-19 ?, ou bien peut-être l’intégration des milliards de la drogue dans le P.I.B. ?, peut-être ……. ).
En Afrique, ces techniques d’investissement seraient appelées les « éléphants blancs » car ils contribuent à l’alourdissement du poids de la dette et compromette les chances de développement des générations futures.
Mme et Mr les représentants élus, vous les plus capable et les plus instruits, pourquoi l’histoire démontre sans fin que la corruption politique dénie toujours son nom ?
Pétition pour une séparation des pouvoirs de fond, pour la fin d’une justice politique de forme.
Cordialement.
Nb : Un éléphant blanc est une réalisation d’envergure prestigieuse qui s’avère en définitive plus coûteuse que bénéfique et dont l’exploitation ou l’entretien devient alors un fardeau financier. (Peter Weisman, Dictionnaire étymologique et critique des anglicismes )
REF# : Article 2 de la Convention civile sur la corruption – signé le 26 novembre 1999 par la France.