Imposer en plus de la température minimale, une température maximale des logements.
Texte législatif
Imposer en plus de la température minimale, une température maximale des logements.
Une température minimale des logements est définie dans les textes à 18°, cependant, aucune température maximale n'est définie.
Avec le réchauffement climatique, il semble raisonnable de définir aussi une température maximale, au risque de voire construire des bâtiments inhabitables.
Ces problèmes de températures impactent de manière disproportionnées les locataires qui ne peuvent faire de travaux ou forcer le propriétaire à en faire.
Ils causent aussi un baisse de la productivité en réduisant la qualitée du sommeil.
La non installation d'une climatisation fixe par les propriétaire incite les locataires à acheter des climatiseurs mobiles dont le rendement est bien inférieur.
Hors la vente des climatiseurs mobile est en cours d'explosion. Ceci provoque un gâchis d'énergie.
Pour les logements neufs :
Des technologies comme les puits canadiens et la vmc double flux, associés à une bonne isolation ;
permettent sans consommation énergétique supplémentaire une régulation de la température des logements.
Pour les logement pré-existant :
Les puits canadiens, la vmc double flux et isolation sont difficilement installable à posteriori, cependant :
- Une climatisation moderne utilisant une pompe à chaleur possède un très bon rendement
- Est réversible l'hiver avec un meilleur rendement que les autres technologies.
- Consomme du courant lors que la production de panneau solaire est la plus élevée.
Il est a noter la corrélation entre humidité et température.
46° à 40% d'humidité correspond à un danger mortel.
Tandis que le même danger à 90% d'humidité correspond à 33°.
Dans l'idéal un texte devrait tenir compte de ce fait.