Éolienne – comprendre le mythe de la « croissance verte »
Mission de contrôle
Éolienne – comprendre le mythe de la « croissance verte »
En matière d’écologie, il est primordial de s’inspirer de l’Histoire pour profiter des enseignements acquis par les générations passées, d’autant plus de leurs erreurs.
Sans cité la nouvelle sortie du patron de l’Onu qui assure que "l’effondrement climatique a commencé" rappelons que l’énergie éolienne n’est pas une énergie de transition énergétique mais de superposition du fait de son fonctionnement aléatoire et non pilotable.
En effet,
Selon le rapport de février 2024 – Allemagne - Le facteur de charge d’une éolienne est estimé à environ 32,3% correspondant à 2.830 heures équivalent pleine puissance sous l´hypothèse d’une puissance moyenne de 8,3 GW au réseau. (Bien que des études ont démontré que lʼusure du temps des éolienne fait chuter le ratio de plus de moitié en 15 ans soit un facteur de charge réel plus proche de 16,6 %).
Production Allemande tellement médiocre qu'une entreprise en vient à démonter des éoliennes pour agrandir des mines à ciel ouvert de charbon afin de "sécuriser" l’approvisionnement énergétique de l’Allemagne.
De plus, entre 2015 et 2022, les émissions de carbone liées au charbon par habitant au sein des pays du G20 ont augmenté de 9%. Le recours mondial au charbon a progressé de 2,6% en 2023 à un niveau record, selon des données de l'Agence internationale de l'énergie (A.I.E.).
Pour revenir en France.
L’A.D.M.E., (indépendamment d’une baise de demande d’électricité de 33,3 TWh entre 2019 et 2023), nous informe que la part décarbonée a chuté de 91,4 % en 2021 à 83,7 % en 2022 suite à la baisse de l’emploi de l’électronucléaire. Il a fallu réaugmenter la part du nucléaire de 15 % pour atteindre 92,2 % en 2023. (Nb – le facteur de charge des éoliennes oscillerait, en 2024, entre 20 à 22 % tandis que son taux de charge serait de 14 %)
Le R.T.E. a mis le focus sur les industriels en France et l’augmentation de prix de l’énergie.
La facture électrique des industriels a été de 10 Milliards en 2021, de 16 milliards en 2022 et estimé à 29 milliards d’euro en 2023 bien que la consommation a diminué de presque 9 TWh entre 2019 et 2023.
Contrairement à ce qui peut être affirmé dans certains mainstreams, la filière éolienne ne rapporte pas d'argent à l'État. L’éolien est une activité qui a encore besoin d’être soutenue artificiellement après plus de vingt ans (+ de 10 Milliards rien que pour le mois de septembre 2024), alors que les coûts sont arrivés à maturité, cela pose évidemment des questions embarrassantes.
Sans rappeler l’alerte de la cour des comptes de 2016 sur le coût du soutient des EnR par l’État (+ de 121 milliard d’euros) ou de l’enquête sénatorial de 2012 sur le coût du mix énergétique choisi (+ 400 milliard d’euros),
qu’elle peut être la pertinence écologique à maintenir un fantasme si ce n’est un dogme éolien, via le biais d’éléments de langage visant à : « compenser une emprunte carbone » tout en réduisant la production électronucléaire la plus basse en émission de carbone ?
Cordialement
Nb :
Dans ce courriel je n’ai fait mention ni de l’impacte des éoliennes sur l’environnement (écocide ?) ou sanitaire et de santé sur l’être humain ni des taxes (TVA,CTA, Accise,..) à même de représenter plus de 1/5 de la facture d’électricité.
REF# : impot.gouv.Fr
Tarifs applicables au mois de janvier 2023 La loi de finances pour 2022 prévoit qu’en janvier 2023, la TICFE (accise sur l’électricité) sera majorée suite à la suppression de la TCCFE.À partir du 1er février 2023, seuls les deux tarifs à 0,5 et 1 €/MWh prévus par le bouclier tarifaire seront applicables.
Tarifs applicables du 1er février 2024 au 31 janvier 2025. La loi de finances pour 2024 prévoit une sortie progressive du bouclier tarifaire pour les consommations réalisées entre le 1er février 2024 et le 31 décembre 2025. Le tarif applicable au 1er février 2024 s’établit à 20,50 €/MWh pour les entreprises et 21 €/MWh pour les ménages et assimilés. Ces nouveaux tarifs s’appliquent uniquement aux tarifs normaux.
Pour le côté écologique, à partir de 2025, les éoliennes généreront 3.000 à 15.000 tonnes de déchets annuels, non recyclables, en France car les pales sont noyés dans une résine difficile à enlever du fait que le processus thermodurcissable est difficilement réversible.