Faire de la protection des enfants une priorité nationale et internationale
Texte législatif
Faire de la protection des enfants une priorité nationale et internationale
Présidente d'une Association de protection de mineurs créée en 2017, POUR LES ENFANTS DE L'AN 2000, notre Association d'alerte citoyenne s'est formée autour de la recrudescence des affaires de pédophilie dénoncées dans les établissements scolaires en France, l'augmentation des cas de pédocriminalité en France et dans le monde et plus généralement en réaction aux problèmes de violences exprimés par les adolescents sur les réseaux sociaux.
Conscients que le législateur œuvre, et notamment en France, pour que les conditions des enfants soient améliorées, il semblerait que sur le terrain cela ne fonctionne pas encore parfaitement. Et dans ce domaine nous exigeons la perfection.
Des enfants sont encore victimes de violence en France et partout dans le monde. La CONVENTION INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT étant souvent opposée A LA DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME, nous nous trouvons devant un mur des inextricables choix à faire.
Quand la loi fait barrage à la loi ou un faux choix à faire entre la sécurité des enfants et celle d’internet.
En ce qui nous concerne le choix est fait :
La priorité est la protection des enfants.
1 - LES ENFANTS
. Meilleure prise en compte de la parole de l’enfant ;
. Enseignement de la CONVENTION INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT à l’école depuis l’école primaire, ils connaîtront ainsi leurs droits et par conséquent leurs devoirs.
2 - LES PROFESSIONNELS
. Augmentation des effectifs et moyens mis à la disposition des cyber patrouilleurs ;
. Secret professionnel à lever. Contrôle et surveillance des institutions approchant les enfants et tenues au secret professionnel ;
. Séparation des pouvoir à ne pas opposer pour s’effacer devant ses responsabilités ;
. Formation spécifiques des magistrats ;
. Justice accélérée et prioritaire pour les crimes commis sur mineurs ;
. Prise en compte des dénonciations faite par Anonymous permettant les enquêtes au delà du respect de la confidentialité des utilisateurs ;
. Autorisation des portes dérobées et décryptage des sites par les forces de l’ordre pour lutter contre la pédopornographie ;
. Blocage des téléchargements des sites pédopornographiques ;
. Sanctions exemplaires des pédocriminels à diffuser largement au public ;
. Pas de remise de peine pour les violeurs et assassins d’enfants.
3 - POPULATION
. Information régulière de la population, sans limite dans le temps, de tout ce qui est interdit de faire aux enfants, ils connaîtront ainsi leurs droits et non-droits et par conséquent leurs devoirs ;
. Apprendre aux parents à déceler les signes de violences commises sur les enfants ;
. Recueil des informations sans poursuites lors de dénonciation de suspicion sur livre d’or et attestation sur l’honneur ;
. Collaboration plus étroite entre les Associations de protection des enfants et forces de l’ordre. Pouvoir échanger ouvertement les renseignements.
4 - PEDOPHILES
. Mise en place de réunions d’information pour prise en compte de la parole de pédophiles afin de les aider à ne pas passer à l’acte ;
. Mise à disposition d’une ligne d’écoute téléphonique pour les pédophiles désirant être orientés pour éviter de passer à l’acte ;
. Mise en place d’un service de castration chimique à la demande des adultes pédophiles ;
5 - CHEFS D’ETAT DE TOUS LES PAYS
. Sanctions disciplinaires de la part de la communauté internationale pour tout accroc fait à la CONVENTION INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT.
. Implication et condamnation personnelle pour chaque dirigeant d’état ne faisant aucun effort de moyens mis en place et ne respectant pas la CONVENTION INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT ;
. Implication et condamnation de chaque force armée ne respectant la CONVENTION INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANTS, les enfants ne doivent plus être des dommages collatéraux ;
. Enquêtes, contrôle et mise en justice des dirigeants des états responsables des migrations de masse ;
Cette liste n’est pas exhaustive.